Le dernier soir a Dodola, nous dinons avec la chef de mission des affaires economiques de l’ambassade de france a Addis. Le lendemain elle repart sur la capitale avec son merveilleux 4X4. Pour Sara et moi, c’est la chance de voyager dans de bonnes conditions sur le troncon degueulasse qui joint Dodola a Shashamene. Nous nous rejouissons de se premier trajet de luxe. Malheuresement, au matin, pour cause de probleme de roue de secours elle nous fait faux bond. Et c’est tres decus que nous dirigeons vers la station de bus de Dodola.
C’est reparti pour 4 heures de bonds et rebonds. Mais nous avons anticipe, et sommes assis a l’avant du bus ou les secousses se font moins sentir. Apres un changement de bus a Shashamene, nous arrivons a Awasa apres 5 heures de voyage.
Changement d’ambiance, Awasa est une ville prospere au bord du lac Awasa. Comme toujours, l’element liquide apporte la vie. Les berges et ses roseaux sont le paradis des oiseaux. Nos journees sont faites de promenade autour du lac. Nous nous transformons en chasseurs... d’images, objectif capturer l’image de chacune des especes d’oiseaux peuplant les berges.
Je vous laisse decouvrir le fruit de notre chasse avec les photos ci-dessous. Vous retrouverez notemment le heron, animal de 1.20m a la tete si sympathique, en fait toute tache de noir qui donne vraiment l’impression qu’il a plonge sa tete dans la boue.
Au bord du lac, trone un hotel gouvernemental avec son jardin peuple de nombreux singes. L’endroit parfait pour passer un apres midi a regarder la vie foissonnee aux alentours. Nous avons quitte les contres sauvvages des montagnes Bale. Ici nous sommes en pleine ville, les singes vivent sans peur au mileu des hommes. Au contraire, ces coquins ont l’esprit chapardeur. Alors que nous sommes assis en terrasse, ils viennent roder autour de la table. Des qu’ils le peuvent, ils essaient de voler la sucriere.
De la terrrasse nous apercevrons egalement un hyppopotame qui se glisse docilement dans les roseaux. Chaque apparition de ce gigantesque animal est comme un privilige parcimonieusement offert par mere nature.
En soiree, a la lueur du couche de soleil sur le lac, nous restons cote a cote avec les pecheurs a la ligne, a l’affut de la prochaine prise. Des que le poisson est sorti de l’eau, les negociations commencent pour sa vente avec les locaux presents.
C’est bien repose et plein de souvenirs que nous terminons ce mini periple de 3 semaines dans le sud de l Ethiopie. Il est temps de rentrer sur Addis Abeba ou je dois rencontrer le president de AHA, l’ONG de Julie pour finaliser l’objectif de ma mission.
C’est reparti pour 4 heures de bonds et rebonds. Mais nous avons anticipe, et sommes assis a l’avant du bus ou les secousses se font moins sentir. Apres un changement de bus a Shashamene, nous arrivons a Awasa apres 5 heures de voyage.
Changement d’ambiance, Awasa est une ville prospere au bord du lac Awasa. Comme toujours, l’element liquide apporte la vie. Les berges et ses roseaux sont le paradis des oiseaux. Nos journees sont faites de promenade autour du lac. Nous nous transformons en chasseurs... d’images, objectif capturer l’image de chacune des especes d’oiseaux peuplant les berges.
Je vous laisse decouvrir le fruit de notre chasse avec les photos ci-dessous. Vous retrouverez notemment le heron, animal de 1.20m a la tete si sympathique, en fait toute tache de noir qui donne vraiment l’impression qu’il a plonge sa tete dans la boue.
Au bord du lac, trone un hotel gouvernemental avec son jardin peuple de nombreux singes. L’endroit parfait pour passer un apres midi a regarder la vie foissonnee aux alentours. Nous avons quitte les contres sauvvages des montagnes Bale. Ici nous sommes en pleine ville, les singes vivent sans peur au mileu des hommes. Au contraire, ces coquins ont l’esprit chapardeur. Alors que nous sommes assis en terrasse, ils viennent roder autour de la table. Des qu’ils le peuvent, ils essaient de voler la sucriere.
De la terrrasse nous apercevrons egalement un hyppopotame qui se glisse docilement dans les roseaux. Chaque apparition de ce gigantesque animal est comme un privilige parcimonieusement offert par mere nature.
En soiree, a la lueur du couche de soleil sur le lac, nous restons cote a cote avec les pecheurs a la ligne, a l’affut de la prochaine prise. Des que le poisson est sorti de l’eau, les negociations commencent pour sa vente avec les locaux presents.
C’est bien repose et plein de souvenirs que nous terminons ce mini periple de 3 semaines dans le sud de l Ethiopie. Il est temps de rentrer sur Addis Abeba ou je dois rencontrer le president de AHA, l’ONG de Julie pour finaliser l’objectif de ma mission.
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